Les bonnes relations que nous entretenons depuis plus de trois ans m'autorisent aujourd'hui à vous faire part d'une gêne financière passagère et me font croire que vous m'accorderez un délai pour le paiement du prochain loyer.
L'entreprise qui m'emploie connaît actuellement une période de semi-activité ; pour cette raison, je me vois contraint de travailler à mi-temps, ce qui réduit d'autant mon salaire. Par ailleurs, monépouse vient de perdre son poste d'éducatrice spécialisée et n'a aucun espoir de retrouver du travail avant la prochaine rentrée scolaire.
Notre situation devrait cependant s'améliorer à la fin de l'année ; c'est donc l'assurance de pouvoir, au mois de décembre, vous régler les deux termeséchus qui m'autorise à vous demander cette faveur.
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